Une vie tracée par des cordes de violons qui suivent une partition

Une ode jouée en bémol à se souffle, cette existance folle

À chaque octave un nouvel échelon à gravir

Une à une les notes poussent à grandir

La forte mélodie de l'être se met en transe et tout à coup

D'un seul pas de danse arrive à redonner la parfaite cadence

Les murmures du passé forment trop souvent un air poignant

Laissant parfois au chant présent un dièse désolant

Tenter de placer correctement l'archet au travers de des gestes désolbligeant

mais parfois inconscient qui nous entraîne dans un rythme répétitif et ennuyant

Au milieu de cette ballade se cache des accords qui ne concorde pas avec notre gamme

La clé de Sol et de Fa distincte comme l'homme et la femme

Forcer d'écrire chaqu'un notre refrain, nous hasardons en sourdine vers la note de la fin

Sachant très bien que c'est celui-ci qui nous mèneras à la note grave du destin.